Disponible en librairie
Roman, Editions de L'Aire, 2020.
Roman, Editions de L'Aire, 2015.
Roman, Editions de L'Aire, 2011.
Roman, Editions de L'Aire, 2006.
Monographie sur l’œuvre du peintre Nicolas Binsfeld
Editions Art in Belgium, 2004.
Un Voyage en Ville d’Europe, collectif
Editions Metropolis, 2004.
Fiction biographique
Editions Albin Michel, 2003
Prix 2003 de la Société littéraire de Genève.
Réédité en 2012 aux éditions L’Age d’Homme poche avec le soutien de Pro Helvetia.
Récit, Editions Metropolis, 2000.
Monographie sur l’œuvre du photographe Jean–Pierre Gstinsonl
Editions Slatkine, 1999.
Roman, Editions de L’Aire, 1996.
Prix des Salons du livre Genève–Montréal.
Roman, Editions de L’Aire, 1994
(réédité dans L’Aire bleue en 2007).
Préface de Georges Haldas
Récit, Editions Zoé, 1986.
Maturité en poche, Serge Bimpage accomplit un tour du monde de deux ans en auto-stop. Cette expérience (« Les vrais voyageurs sont ceux-là seul qui partent pour partir », écrivait Baudelaire), inaugurera de très nombreux voyages.
Etudes de lettres et de psychologie. Assistant à l’Université de Genève, il collabore avec la plupart des journaux de Suisse romande avant d’être engagé au Journal de Genève (1980-1986), époque où il fera une rencontre marquante : celle de Marguerite Yourcenar, dans sa maison de Mounts Deserts aux Etats-Unis.
Journaliste à L’Hebdo (1986-1990), il publie son premier récit, La Seconde mort d’Ahmet Atesh Karagun. Responsable ensuite du Service de presse de l’Université (1990-1996), il y créera et dirigera le magazine Campus. Son second récit, La Reconstitution, paraît en 1994, suivi, deux ans plus tard de son premier roman : Sonia ou l’empreinte de l’amour, Prix des salons du livre Genève-Montréal.
Collaborateur au sein du service culturel de la Tribune de Genève (1996-2004), il publie Les visiteurs de la Suisse autour de l’œuvre du photographe Jean-Pierre Grisel, La Trattoria della Fontana et, chez Albin Michel, la fiction biographique Moi, Henry Dunant, j’ai rêvé le monde qui lui vaut en 2003 le Prix de la Société littéraire de Genève.
Dès lors, Serge Bimpage se dédie à l’écriture. Il publie une monographie du peintre belge Nicolas Binsfeld et un long texte pour un collectif, Un autre portrait de Genève. Le roman Pokhara paraît en 2007. La même année, la Fondation Pro Helvetia soutient la réédition de La Reconstitution. En 2011 paraît Le Voyage inachevé, interrogation sur le voyage et l’amour.
Président de la Compagnie des Mots, il fait une autre rencontre marquante en la personne de l’écrivain Claude Delarue. Déflagration, paru en 2020, est son dernier roman. Une vaste allégorie sur le destin de la Suisse.
Jamais celui qui a décidé de devenir médecin, «parce que c'était le meilleur moyen de connaître la condition humaine», ne s'est décidé à choisir entre médecine et littérature. Dans son oeuvre comme dans sa vie, l'une enrichit l'autre.
En savoir plus« Tourner la page, oui, mais après l’avoir lue » ! tel est le crédo de la psychanalyste de renom, qui fut longtemps consultante auprès des Institution universitaires de psychiatrie à Genève.
En savoir plusJe remontais la côte est des Etats-Unis. C’était à mi-hauteur du Main, juste après un repas gargantuesque de lobsters, que m’était revenu à l’esprit l’existence de l’écrivaine, sur la presqu’île de Mounts Deserts. Elle ne figurait pas dans l’annuaire. Je l’avais finalement trouvée sous le nom de son amante et traductrice, Misses Frick.
En savoir plusAu premier abord, il a un petit côté diva. Fatigué, il devait repousser cette interview à la dernière minute. Le jour du nouveau rendez-vous, il a encore retardé l'affaire pour régler son enregistrement à l'aéroport. Et, une fois «coincé», l'écrivain observait son interlocuteur d'un œil de faucon. Mais celui-ci s'est changé aussitôt en un regard d'une profondeur à la mesure de son oeuvre. Comme pour l'écriture, quand José Samarago est là, il l'est complètement. Et le monde n'a qu'à bien se tenir.
En savoir plusElle vit dans un petit appartement un peu sombre, dans les hauts de la vieille ville de Neuchâtel. Personne ne sait que vit là l'une des grandes écrivaines de langue française du moment et ça lui convient très bien. Le grand cahier, traduit en 33 langues, l'a propulsée dans le monde entier mais cela ne lui fait ni chaud ni froid: jamais son succès ne cicatstinsonra sa blessure d'avoir été obligée de quitter la Hongrie en 1956.
En savoir plusMarguerite Yourcenar Un roc sur une île déserte. Ainsi se figure-t-on Marguerite Yourcenar, fixée depuis trente-cinq ans dans le Maine, aux Etats-Unis, sur une île appelée Monts-Déserts. Sa maison, « Petite Plaisance », est un simple cottage de bois, une ancienne ferme qui date de 1866, composée d’une dizaine de petites pièces pour conserver la chaleur.
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